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La sécurité du domicile et le risque incendie

Oui j’ai bien dit : La sécurité du domicile et le risque incendie, et non pas la sûreté du domicile comme je vous l’expliquai dans l’article Sureté des biens, des personnes et la défense du domicile. C’est donc bien d’accidents qu’il sera question dans cet article. La sécurité des personnes plus que leurs biens, est un sujet des plus important, pour lequel votre préparation est primordiale.

Car oui, notre protection, et la prévention des accidents restera toujours plus efficace que le traitement des conséquences traumatologiques de ces derniers. Nous allons donc déterminer quelle préparation vous permettra implicitement d’éviter (limiter) et de traiter l’accident incendie pour augmenter votre résilience à un effondrement localisé et personnel.

Certains envisagent souvent des accidents à l’échelle d’une emprise territoriale de plusieurs kilomètres carré comme les incendies de ville, de forêt, les catastrophes naturelles (inondation, ouragan,…), les accident industriel (NRBC), en oubliant la préparation à l’échelle résidentielle.

J’aimerai donc rappeler que nous sommes globalement plus exposés à des risques courants et tout aussi dangereux en terme de mortalité. Il faut donc d’abord prévoir les risques résidentiels et la sécurité du domicile.

Classification des accidents :

  1. Les accidents de la vie courante (AcVC) [Noyade, Suffocation, Brulures, les chutes]
  2. Les accidents du travail (AT)
  3. Les accidents de la circulation (AC)

Nous allons nous intéresser principalement aux AcVC et plus précisément à l’incendie qui reste le risque le plus important dans cette catégorie.

1. Le risque incendie

L’incendie est l’un des risques les plus fréquent au domicile. En France il y a un 1 incendie du domicile toutes les 2 minutes. Si la plupart des incendies se déclarent le jour, 70 % des incendies meurtriers ont lieu la nuit. On compte chaque année 10 000 victimes d’incendies dont environ 460 décès.

Il existe une classification des typologies de feux par types de matériels combustibles. Afin de rendre sa compréhension facile, voici une infographie synthétisant l’ensemble des feux.

Il faut retenir que dans un incendie résidentiel, nous rencontrons principalement les classes de feux A, B et F.

Les classes de feux ABCDF

2. La prévention incendie

2.1. La fumée

La majorité des décès survenant lors d’un incendie ne sont pas causés par les flammes mais par les émanations toxiques qui accompagnent le dégagement de fumées. Ce ne sont pas les flammes qui tuent, mais des gaz issus de la combustion tels que le monoxyde de carbone. C’est pour cette raison que l’on recommande de placer le détecteur de fumée (DAAF) à proximité des chambres à coucher, afin que les occupants du domicile soient alertés et réveillés en cas de départ de feu.

La fumée tue !

      • La fumée est toxique : Elle intoxique et tue en quelques minutes.
      • La fumée est opaque : Elle empêche de voir.
      • La fumée est chaude et inflammable : Elle brûle.
      • La fumée est mobile et envahissante : Elle propage l’incendie.
      • Les feux d’habitations produisent beaucoup de fumée.

Moyen mnémotechnique pour les caractérisées les fumées d’incendie
C.O.M.I.X. : Chaudes, Opaques, Mobiles, Inflammables, ToXiques.

2.2 Le(s) détecteur(s) de fumée(s)

Le DAAF (détecteur autonome avertisseur de fumée) reste la solution la plus simple et la plus adaptée pour prévenir les occupants d’une habitation de la présence d’un risque incendie (surtout de nuit). Le détecteur autonome avertisseur de fumée est obligatoire depuis la loi dite “Alur” du 24 mars 2014.

Depuis le 8 mars 2015 tous les logements en France doivent être équipés d’au minimum un détecteur avertisseur autonome de fumée (DAAF), devant être muni du marquage CE et être conforme à la norme européenne harmonisée EN 14604. À placer de préférence dans les couloirs desservant les chambres.

Ces dispositif sont simple et autonome, mais il existe des solutions interconnectées permettant de coupler ces détecteurs, permettant d’offrir un potentiel d’avertissement sonore augmenté. Il est conseillé de mettre en œuvre au moins un détecteur par étage. La zone nuit (déserte des chambres) est à privilégier pour avertir les occupants la nuit d’un incendie durant le sommeil.

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      • DAAF connecté Fibaro + capteur chaleur [certifié EN14604]. Ce capteur offre une double protection fumée et chaleur (dès 54°) ce qui dans une cuisine permet de limiter les déclenchements intempestifs si la température n’augmente pas. Il doit être connecté à un contrôleur domotique fonctionnant avec la technologie radio Z-wave et permet un groupement de sécurité incendie. Avec 4 DAAF je couvre largement la détection de toute l’habitation (déserte des chambres au premier, cuisine, garage et séjour. Cette solution est nettement plus onéreuse et pas nécessaire si un seul voir deux détecteurs sont installés. Attention un détecteur lambda n’est pas à déployer dans la cuisine, ce détecteur Fibaro lui peut y être installer  en raison des capacités de détection couplé de la fumée et de la température.
      • Détecteur de fumée X-Sense SD13 [certifié EN14604]. Ce détecteur est totalement conforme au besoin de base de la détection fumée.

Le DAAF devra être à minima au norme CE EN14604 et au mieux en plus à la norme Française NF292 (Liste de DAAF NF).

2.3. L’extincteur :

Il est conseillé de mettre à disposition un extincteur au niveau cuisine. Comme vu plus haut, les incendies de classe A, B et F devront être traité par un extincteur ABF (à eau + additif) CE NF EN3. Ce type d’extincteur coûte environ 30€ à 80€ selon sa capacité (2 à 6 litres et plus).

Une alternative pourrait être l’extincteur ABC mais celui-ci ne couvre pas les feux de classe F. L’extincteur à poudre ABC n’est pas pertinent pour l’intérieur du domicile. Cependant, si vous équipez votre domicile de plusieurs extincteurs, un extincteur ABC pourrait couvrir les feux extérieurs car ce dernier ne gèle pas. Cet extincteur est au même titre pertinent dans votre voiture.

Extincteur ABF

Où installer un extincteur ?

      • Privilégiez les pièces à risque (cuisine, salon près de la cheminée, atelier de bricolage…). Vous pouvez de ce fait être amené à disposer un extincteur par étage (par exemple, un au sous-sol ou dans le garage ou l’atelier et l’autre dans l’entrée qui dessert la cuisine et le salon).
      • Positionnez votre extincteur au mur, plutôt vers une porte de sortie, de façon à ne pas être coincé au fond d’une pièce en feu alors que vous étiez allé chercher l’extincteur.

Révision maintenance : Il n’existe pas de contrainte réglementaire pour un particulier. Faites un investissement décalé de vos extincteurs pour ne pas avoir à prendre le risque d’un dysfonctionnement en raison d’un oubli de maintenance. Au bout de cinq ans, faites le réviser ou changez-le.

2.4. La couvertures anti-feu

      • Il est conseillé de mettre à disposition une couverture anti-feu au moins à chaque étage de votre logement.
      • Il est conseillé d’en disposer au plus près du potentiel risque, qui dans bien des cas se trouve être la cuisine.
      • L’acquisition d’une couverture à la norme NF EN 1869:2019 (mise à jour en 2019) est prescrite (Et non pas EN1869:1997 car la norme ayant été corrigé en 2019, tous les produits de la même norme fabriqué avant 2019 ne respectent plus les nouvelles spécifications).
      • Malgré cette nouvelle norme, vous pouvez bien entendu conserver votre modèle EN1869:1997 en vérifiant tous les ans son état de conservation. Si cette dernière perd ses coutures ou laisse apparaitre de la rouille, renouvelez-là en faveur d’une version 2019.

Couverture Anti-feu

2.5. Le détecteur de monoxyde de carbone

A titre de complément, il est aussi possible de s’équiper d’un détecteur de monoxyde de carbone. Si vous utilisez des dispositifs de chauffage avec un mauvais réglage ou avec un encrassement des dispositifs de combustion, vous vous exposez aux émanations de monoxyde de carbone (Les dangers du monoxyde de carbone). Dans la même déclinaison connecté et non-connecté voici deux équipements répondant au besoin de détection :

2.6. L’échelle de secours incendie

Les échelle de secours incendie sont des dispositifs permettant l’évacuation du domicile par des voies non aménagées à cet effet. Un balcon, une terrasse, une fenêtre peuvent effectivement vous permettre d’évacuer d’une zone de confinement incendie. C’est un investissement non négligeable suivant le type et la taille. Ces dispositifs doivent permettre de descendre une hauteur d’au moins un étage.

Bien évidemment dans une maison à deux niveau la hauteur sera au maximum de 4 mètres. Dans ce cas, et si vous êtes confiné dans une chambre, le linge de literie peut vous offrir une solution de fortune pour accompagner et sécuriser la descente des personnes et vous éviter cette dépense. Par contre, dans le cas d’une habitation plus haute, ce type de dispositif apporte une réelle solution d’évacuation. Il bien entendu possible de prévoir un dispositif plus robuste sans pour autant déclencher cette acquisition (une corde à nœuds par exemple est un dispositif plus facile à utiliser qu’une échelle spéléo.

A titre d’information, voici quelques modèles.

2.7. Appareil respiratoire d’évacuation

Pour ceux ayant un budget illimité un appareil respiratoire d’évacuation d’urgence pourrait compléter la panoplie. Attention ce dispositif n’est pas un masque filtrant, c’est un dispositif embarquant une mini réserve d’air. En effet, les masques ou cagoules filtrantes (EN403:2004) ne protègent que de certains gaz. Sachant qu’il est improbable de savoir de quelles émanations gazeuses nous sommes en présence, le masque filtrant risque bien d’être l’ennemi du bien.

Fenzy BIO S Cape

Le Fenzy BIO S Cape est un appareil respiratoire d’évacuation d’urgence à air comprimé conçu pour offrir une grande facilité de mise en place, combinée à une protection respiratoire optimale. Il est contenu dans un sac de transport dont l’ouverture déclenche automatiquement l’apport en air respirable contenu dans la bouteille.

De mon point de vue cet achat n’est pas une priorité, car l’acquisition pour une famille me semble illusoire économiquement. De plus, cet équipement risque d’altérer votre réaction d’évacuation en vous donnant une confiance en vous pour lutter contre un feu immaitrisable.

3. Formation

Il n’existe hélas aucune formation pour les particuliers. C’est dommage car bien qu’ayant été formé à un rôle Sécurité, feux et voie d’eaux (Querqueville et Brest) dans la Marine Nationale, j’aimerais bien pouvoir mettre à jour et maintenir mon niveau de connaissance pratique. A priori, très peu de gens sont intéressés et sensibles à cette connaissance. Le seul moyen de motiver les prétendants serait peut-être d’ajouter un module feux dans une formation plus globale comme une formation sécurité du domicile. Il existe cependant une possibilité de voir des démonstrations lors des journées portes ouvertes des casernes de pompiers. C’est ainsi le moyen aussi de rencontrer les pompiers de votre localité.

On peut cependant sensibiliser notre entourage familiale sur les dispositifs en œuvre dans son domicile. Identifier et localiser les équipements en place est une étape essentielle. On ne doit pas être le seul dépositaire de l’usage de ces équipements. Identifier est assez simple au vu de la couleur rouge des équipements, mais exposer et démontrer le fonctionnement affiché sur la notice de l’équipement lui-même nécessite de prendre un temps pédagogique de transmission.

La vidéo ci-dessous peut faire l’objet d’une séance de visionnage familiale.

4. Procédure opérationnelle normalisée [SOP – POP – PON]

Rappel : J’ai abordé le sujet des procédures opérationnelles normalisées [SOP – POP – PON] en section 3 de l’article Sureté des biens, des personnes et la défense du domicile.

Qui, quoi, comment et quand : Une procédure doit définir QUI doit faire QUOI et faire référence à COMMENT le faire (instruction spécifique, mode opératoire, etc…). La procédure renseigne également sur une notion temporelle en définissant l’enchainement des tâches et activités (QUAND).

Un risque = Un Plan :  Voici un exemple de plan d’évacuation incendie qui faut amender de précisions sur le domicile et les occupants.

Procédure opérationnelle normalisée Incendie

Petite remarque, la pièce de confinement doit permettre d’envisager l’évacuation par une fenêtre. Il faudra donc éviter les salles d’eau ou de de bain si celles-ci comportent des barreaux de sureté.

5. RetEx de Kilroy

Quelques idées reçues, véhiculés par les films, sur la conduite à tenir en cas d’incendie.

Traverser les flammes : Pour beaucoup, en cas d’incendie il suffira de se protéger efficacement contre la flamme et de la traversée pour fuir un incendie. Premier point il faut imaginer que la flamme rejette des gaz extrêmement chaud, qui en sortant de la flamme sont aux alentours de 800°, autant préciser qu’une seule bouffé de ces gaz chauds suffira à vous laisser sur le carreau avec des poumons dignes de ceux de Jeanne d’Arc. Souvent on voit le héros du film se protéger d’une couverture de survie pour le faire, précisons que c’est un matériau extrêmement inflammable.

S’emmitoufler dans un drap ou une couverture humide : Avez-vous déjà remarqué que les pompiers ne se mouillent pas avant de rentrer dans un bâtiment où il y a le feu ? Avez-vous remarquez que pour rendre le peau d’un poulet croquante vous l’arroser d’eau ? Ce n’est pas sans raison, l’air isole, l’eau conduit, donc il vaut mieux être sec qu’humide en cas d’incendie.

Se protéger des fumées avec un linge humide devant de visage : Si utiliser un linge humide pour calfeutrer votre porte représente un sérieux avantage de survie, sur votre visage il ne présentera aucune utilité, pour une raison simple votre porte ne respire pas, vous oui. En l’humidifiant et en le plaçant dans les interstices de votre portes vous comptez sur le fait que l’eau va gorger le textile, le faire gonfler et tenter d’être étanche au gaz, et ça marche plutôt bien ! Mais vous, vous allez forcez le passage des gaz en respirant au travers, et si l’oxygène passe tout les autres aussi.

Le masque à gaz n’est pas prévu pour résister à des gaz chauds. Donc inefficace et dangereux.

Tenter de traverser en apnée : C’est con d’attendre ses 40 ans et de découvrir au milieu de son salon qu’on as une forme physique de merde, et qu’on sait pas tenir l’apnée plus de 15 secondes avec le cœurs qui s’agite à cause du stress. Mais au moins t’auras appris un truc avant de mourir ! Blague à part c’est sans compter l’opacité des fumées qui fera perdre tous repères empêchant d’évoluer à la vitesse souhaitée, et sans compter la chaleurs de ces dites fumées.

Baissez-vous l’air frais est près du sol :
Cette idée reçue est compliqué à traiter, parce que fondamentalement elle est vrai. On appelle ça la convection. Les gaz chauds s’allègent et donc deviennent plus léger que l’air donc ils montent. Mais ça ne veut pas dire qu’il faut ramper pour fuir un incendie… Les gaz chauds montent, mais si certains gaz ont eu le temps de refroidir, ils seront accumulés au sol en grande quantité. Ne parlons que du monoxyde de carbone (invisible, incolore insipide), qui se trouvera en quantité extrêmement importante au sol, et dont quelques bouffés suffiront à vous faire perdre connaissance.
Je n’ai sans doute pas fait le tour, si d’autres idées reçues vous viennent, partagez les en commentaire.

6. Traumatologies

L’incendie nous expose à trois types de risques traumatologiques :

  • L’agression thermique : Causée par des brûlures des voies respiratoires liées aux fumées, des brûlures externes ainsi que des hyperthermies.
  • L’agression toxique : Causée par anoxie ou asphyxique, par atteinte irritative ou par intoxication aux gaz.
  • L’agression traumatique : Causée par une explosion, un blast (barotraumatisme), une chute ou encore un défénestration.

Les moyens de traitements

Bien entendu, nous évoquerons seulement les moyens de traitements courants qu’il serait idéal d’avoir au domicile. Cependant, le particulier dans un cadre résidentiel ne dispose pas des outils permettant de traiter l’ensemble des risques traumatologiques. Nous ne pourrons en effet avec nos prérogatives de simple secouristes que traiter les brulures externes et les conséquences de chutes par des immobilisations.

Pour les agressions toxique, à part soustraire la victime à l’exposition de gaz ou de fumées, nous n’avons pas beaucoup d’outils en dehors d’un apport en oxygène si toutefois nous disposons d’une bonbonne médical. En tant qu’ex-plongeur professionnel, j’avoue qu’il m’arrive de penser à investir.

La victime devrait être oxygénées au débit de 15l/mn le plus vite possible. Elles doivent ensuite être examinées même si leur amélioration est rapide car cette amélioration n’exclut pas une aggravation secondaire en particulier respiratoire et neurologique ceci implique la prise en charge par des équipes médicales des sapeurs-pompiers ou des SMUR. Ces victimes en fonction de la gravité du syndrome d’inhalation des fumées bénéficieront d’oxygénothérapie hyperbare, d’une ventilation assistée, d’administration d’un antidote des cyanures l’hydroxocaobalamine et d’une réanimation cardio-circulatoire en soins intensifs.

Voici donc l’ensemble des moyens de traitement que nous devrions posséder. Bien entendu, ces équipements ne devraient pas être stocké dans votre domicile qui dans le cas de l’incendie risque de ne plus être accessible. Je vous propose donc de conserver ces dispositifs en doublons dans votre pharmacie résidentielle et dans votre véhiculeDeux c’est un et un c’est rien

Pour les brulures nous devrions disposer de :

  • Compresses type Burnshield / Waterjel (plusieurs tailles ou format). Ce type de compresse convient parfaitement au traitement de brûlures quel que soit leur degré d’intensité et s’appuie sur leur surface interne composée à 100 % d’hydrogel pour soulager la sensation de chaleur tout en favorisant la cicatrisation (Hydrate, apaise et soulage les brûlures) ;
  • Sérum physiologique en quantité ;
  • Bandages.

Pour les immobilisations nous devrions disposer de :

7. La playlist Youtube

8. Conclusion

D’abord, je tiens à remercier Kil Roy de sa contribution à l’article, et vous encourage à le suivre sur Facebook.

J’espère avec cet article vous avoir sensibiliser au risque incendie, et avoir déterminé vos priorités en termes de préparations. Il me semble effectivement plus pertinent économiquement de répondre aux risques les plus probables avant de vous préparer aux risques d’effondrements globaux. Etre chassé, expulsé de votre super B.A.D. en raison d’un incendie serait tout de même pathétique avouez-le ?

Pour ceux plus courageux, sachant encore prendre le temps de lire, voici le Livre blanc – Prévenir les accidents de la vie courante.

Cet article a 4 commentaires

  1. ISO

    Je ne sais plus si je te l’ai déjà demandé: ne pourrais-tu pas prévoir une option d’impression PDF des articles de ton blog?

    1. Le Résilient

      Salut ISO, si je fais ça je me tire une balle dans le pied . Maintenir le blog à un coût. Si tous téléchargent mon contenu en pdf et le post ailleurs (forum / Fichiers FB), j’aurais de moins en moins de vues et de référencement me permettant de négocier auprès de mes partenaires. Si je n’ai plus de partenaires, je ne fais plus beaucoup d’articles, et si je fais moins d’articles j’aurais moins de vues.

  2. TAPS

    hello,
    Super ton article . super bien monté et expliqué. En tant ‘EXPERT en sécurité Incendie ( je suis passer par le CNPP de V e r n o n t ( INSII CERIC ERITECH) je trouve ton ” cours ” pédagogique..

    Si u as besoin de supports divers tu peut compter sur moi

    1. Le Résilient

      Merci @Taps ! Pas de soucis si une idée d’article t’intéresse, je publie en ton nom.

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