On le sait, la législation des armes depuis plusieurs décennies est de plus en plus restrictive, et concentre ses efforts sur les propriétaires légaux d’armes, sans considérer que le problème est ailleurs. Afin de devenir acteurs de votre avenir de propriétaire d’armes, Chasseurs et tireurs sportifs défendons nos droits et adhérez à l’UNPACT. Cet article n’a vocation qu’à vous sensibiliser à la défense de vos droits de citoyens. Avec plus d’un millions de chasseurs et 200 000 tireurs sportifs, nous sommes le pays d’Europe le plus représentatif.
Même si vous n’êtes pas propriétaire légal d’une arme aujourd’hui, vous souhaiterez peut-être demain avoir ce droit. Adhérez pour défendre votre avenir de détenteur d’armes. Je ne suis adhérent que depuis deux ans seulement, et je vous conseille vivement d’être membre, même si vous n’êtes pas encore détenteur légal d’armes à ce jour. L’adhésion à l’association est très peu onéreuse (12€ au moment de la rédaction de l’article) et pourrait bien vous être plus utile que vous ne le pensez. Consultez ici le site internet au plus vite.
Qu’est-ce que l’UNPACT ?
L’Union Nationale des Propriétaires d’Armes de Chasse et de Tir a été fondée en février 2011 par des chasseurs, des tireurs et des collectionneurs peu de jours après la publication de la proposition de loi votée le 25 Janvier 2011 ; elle est le fruit de l’indignation et de la volonté de réagir manifestées par ses fondateurs. Ils se sont lancés dans cette action, car de nombreux citoyens propriétaires d’armes leur ont immédiatement apporté leur support.
Plus que jamais, l’UNPACT a un véritable avenir au service de tous les propriétaires d’armes légitimes. Et, plus que jamais, vous devez venir grossir ses rangs ! Même si, en très peu de temps, L’UNPACT est probablement devenue à ce jour la plus importante association indépendante de propriétaires légaux d’armes à feu en France. [ Source UNPACT ]
Si vous n’êtes pas encore certain, Semper Lupara vous convaincra probablement avec sa vidéo :
Je m’appelle Sébastien. Sans jugement ou catégorisation, je ne m’identifie pas plus particulièrement aux « Survivalistes », « Preppers », « Décroissant », (…) qui ont cependant le mérite de mettre en lumière des sujets et connaissances malgré tout. Je me reconnais plutôt comme un « Résilient ». En tant que père de famille, je développe une approche modéré, structurée et éducative avec une forte envie d’apprendre et transmettre. En savoir plus.
On m’a saisi toutes mes armes de chasse et de tir en .22LR (je n’avais aucune arme de poing) et même des arcs et flèches à cause de 2 abrutis qui ont lancé des pétards à mèche dans mon jardin.
Dénonciation calomnieuse d’un couple de voisins stupides, dont le mari est anglais .
Intervention très musclée du STIG de la gendarmerie du Val d’Oise…
Vos conseils avisés sont les bienvenus. Merci XXL
Bonjour,
Pour que l’UNPACT soit sollicitée, il aurait fallut être adhérent avant l’évènement, peut-être pourriez-vous solliciter de l’aide au travers du groupe Facebook https://www.facebook.com/groups/209270362483437 …
Bonjour à tous,
J’entends des rumeurs sur l’UNPACT, qui n’existerait plus, ou alors seulement pour taxer ses adhérents de 12 euros et se constituer un pactole, un « trésor de guerre » pour en faire on ne sait pas trop quoi mais probablement enrichir ceux qui sont « derrière ». Et qui ne répondraient pas aux sollicitations des adhérents.
La réalité est tout autre et si en effet notre trésorerie, au bout de presque dix ans d’existence, est relativement importante, il n’y a pas de notes de frais du tout, enfin rien que de très normal, si je dois aller au SCA à Nanterre alors que je vis près de Béziers.
En approchant les politiques, nous nous sommes aperçu qu’ils nous ignoraient superbement, que nous ne faisons pas partie de leur monde et que nous pouvions toujours nous adresser à eux, nous perdions notre temps.
En France d’abord (oui, Bruno Leroux est en effet à l’origine de la création de l’UNPACT, bien involontairement, après son discours à l’Assemblée sur « les fêlés de la gâchette »), avec la DLPAJ, qui nous a peu écoutés (même si nous avons quand même réussi à l’époque de la nouvelle loi « moderne et simplifiée » à faire annuler certaines dispositions très drastiques), l’Europe ensuite, avec ses élucubrations sur la Directive Armes européenne, on nous a quasiment ignorés malgré notre croissance importante à nos débuts.
Nous avons donc pris le parti, depuis plusieurs années, de défendre à titre individuel nos adhérents contre les abus de l’Administration, les préfectures pour commencer, parfois contre les gendarmes.
Nos adhérents dans l’embarras – et c’est souvent un euphémisme – nous soumettent leurs cas régulièrement. Deux choses sont possibles, sachant que personne à l’UNPACT n’est avocat :
• Soit le cas qu’on nous soumet dépasse nos compétences, parce que le problème implique des éléments très pointus juridiquement, voire judiciaires, et nous dirigeons le demandeur à ses frais vers notre avocat spécialisé ;
• soit nous estimons pouvoir intervenir nous-mêmes et nous travaillons ardument sur le dossier (analyse, création et envoi de courriers extrêmement personnalisés).
Sur les 68 cas qu’on nous a soumis depuis la fin 2016 et que nous avons pris en charge, nous-mêmes, nous en avons « remporté » 67. C’est-à-dire que 67 adhérent UNPACT en butte à leur préfecture ont obtenu gain de cause et n’ont pas dû se soumettre au dessaisissement envisagé.
Dans le cas « perdu », nous avions raison mais le préfet s’est entêté. Il aurait fallu aller au tribunal administratif et notre adhérent n’en avait pas les moyens. Il faut savoir qu’en première instance on n’a pas besoin d’être représenté par un avocat mais qu’il faut produire un mémoire en défense (il n’y a pas d’audience, seuls les mémoires sont appréciés par la cour), et la rédaction de ce mémoire est très pointue, au-delà de nos compétences actuelles.
Un mémoire rédigé par un avocat, c’est environ 2 500 € HT. 3 000 € TTC. Notre adhérent n’avait pas les moyens et, comme il nous l’a dit, la valeur de ses armes ne dépassait pas 1 000 ou 1 200 €… Mauvais calcul, car il s’est retrouvé inscrit au Fichier National des Interdits d’Acquisition et de Détention d’Armes (FINIADA) et ne peut plus exercer son loisir de tireur sportif. Il lui faudra attendre quelques années avant de pouvoir le refaire…
Notre avocat de son côté en a remporté aussi, mais nous les comptons pas à notre actif.
On nous reproche de ne pas communiquer suffisamment. Nous nous considérons comme soumis au secret professionnel. Chaque cas est totalement confidentiel, il est hors de question d’en parler. Si c’est pour les raconter sans citer de noms, ce serait alors pour contenter les habitués de YouTube qui aiment à lire des histoires sur les déboires d’autrui, que la fin soit bonne ou pas. Aucun intérêt. Si c’est pour mettre un compteur de réussites et voir apparaître dans notre site le nombre 67 mentionné plus haut passer à 68, 69, 70, 71, etc., aucun intérêt non plus ! Désolé.
Grâce à nos conseils, nous avons empêché samedi dernier, fin octobre, une perquisition apparemment légale dans la forme mais illégale dans le fond car ne reposant sur rien. Le document produit par la gendarmerie autorisait au pire, si notre adhérent le signait, la saisie de ce que les gendarmes aurait eu envie de saisir. Une fois que c’est saisi, c’est la croix et la bannière, même si c’est irrégulier, à récupérer. Personne ne sait s’ils l’auraient fait, ils n’ont juste pas eu, grâce à nos conseils, la possibilité de le faire. Et tant mieux. Et nos conseils ont aidé un nombre important de détenteurs d’armes. Pas besoin d’être adhérent de l’UNPACT pour nous interroger.
Dans ces cas-là, nous n’avons pas de courriers à rédiger (deux courriers généralement, qui prennent environ huit heures à eux deux en moyenne). Nous traitons les affaires de nos adhérents mais , nous répondons chaque semaine à de très nombreuses demandes par mail sur des points législatifs ou juridiques. Et dans des délais ne dépassant jamais deux jours en moyenne. Ces cas résolus de cette manière n’entrent pas dans le décompte exprimé ci-dessus.
Il a pu arriver, certes, que nous n’ayons tout simplement pas reçu les mails auxquels on nous reproche de ne pas avoir répondu. Ça arrive et là, nous n’y pouvons rien. Il a pu se produire aussi que nous ayons renvoyé vers notre avocat un demandeur qui, au final, a pu se débrouiller tout seul – pas en cinq minutes évidemment, ce qu’ils oublient de dire. Eh bien cela prouve que quand on est motivé par son propre cas, on peut s’en occuper soi-même sans doute mieux qu’un tiers quand il ne faut pas d’avocat. Et parfois nous en avons trop de demandes en même temps, ce qui, vu les délais imposés par l’Administration, nous empêche d’intervenir à temps.
Quel est le problème de l’UNPACT, en réalité ? Elle se fatigue. Comme dans toute association et quel que soit le nombre de ses administrateurs, il y a un certain nombre de gens qui travaillent et un autre d’autres qui ne travaillent pas (tout en ayant l’impression de le faire). Et je vous laisse deviner lequel des deux nombres est le plus élevé.
J’assure personnellement la partie défense de nos adhérents. Je suis probablement le seul aujourd’hui à l’UNPACT capable de le faire. Je suis fatigué, ça fait près de dix ans que je le fais bénévolement sans compter mon temps et que je n’ai plus de vie privée. J’ai eu un grave accident cardiaque fin janvier 2015 suite principalement à un gros surmenage et au manque de sommeil. Ma femme aurait été la veuve d’un dirigeant de l’UNPACT, finalement, plus que de son mari. Surmenage pourquoi ? Parce que je fais bien d’autres choses pour l’UNPACT que je ne devrais pas faire, dont de l’administratif. Mais c’est un autre problème.
Si, dans les coulisses de l’UNPACT, on pourrait faire bien mieux, dans les faits peu importe qu’on soit dix ou deux à bosser, le travail est fait et ça, personne ne peut le nier, sauf ceux qui n’ont pas eu à faire appel à nous et qui nous jugent de leur fenêtre, sans savoir, ou qui colportent. Contrairement à certains, nous ne nous vantons pas, nous ne faisons pas de pub sur notre réussite. C’est comme ça. On a autre chose à faire.
Quand nous communiquons avec le Service Central des Armes (c’est très fréquent, et je les remercie), c’est sans doute mieux que nous représentions un peu plus de 8 000 adhérents inscrits aujourd’hui. Si nous n’étions plus que 50 adhérents, nous ferions de même, sans doute, mais avec une représentation ridicule. Et si nous étions 10 000, 20 000, etc., ce serait évidemment encore mieux, car là oui, nous serions plus écoutés. Quoique.. les chasseurs sont un peu plus d’un million et ils perdent de la considération. Mais moins nous serons à l’UNPACT et plus facilement je pourrai quitter l’association.
Que nous reproche-t-on encore ? De ne pas avoir, deux ans de suite, envoyé d’appel à cotisation. Ok, c’est vrai. Mais vu l’importance de ce que nous faisons et le temps dont nous disposons, nous nous consacrons au plus important. Nous mettons (depuis un peu avant le début du premier confinement) plus de temps à confirmer les adhésions et les renouvellements ? Oui c’est très vrai, c’est aujourd’hui très long (je suis en train de traiter tout mon retard en ce moment-même). Mais c’est pour les mêmes raisons. Si on a versé une cotisation en s’inscrivant, la date retenue est celle du paiement. Et si on nous sollicite, nous prenons cette date en compte évidemment, puisque nous avons mis en place un délai de carence de trois mois avant intervention.
A côté de cela, se comporte-t-on si bien que ça avec nous ? Pas sûr. Il y a les gens qui s’inscrivent mais qui ne versent pas leur cotisation. Puis ceux qui versent une cotisation d’inscription mais qui ne nous donnent pas leurs renseignements et qui ne répondent pas aux relances que nous leur faisons, si toutefois le mail donné est le bon (ce qui est loin d’être systématiquement le cas). Plus encore ceux qui nous font un virement avec leur seul nom comme indication, sans dire à quoi sert le virement, ce qui oblige à rechercher s’ils sont déjà adhérents ou pas. N’oublions pas ceux qui renouvellent en payant via un tiers (donc un autre nom), sans donner leur numéro d’adhérent… On fait comment pour affecter le règlement ? Ou encore ceux qui ne renouvellent pas, par distraction… Et tout ça, c’est chronophage à un point que vous ne pouvez absolument pas imaginer !
Puis il y a ceux qui nous sollicitent alors qu’ils ne sont pas adhérents. Ils ont pour certains considéré que nous ne servions à rien jusqu’au jour où ils ont le genre de problèmes que nous savons parfaitement traiter. Alors là oui, pour nous demander assistance, on sait faire. Ou ceux qui s’inscrivent et qui, deux secondes plus tard, nous sollicitent pour un problème urgent qui date d’une semaine. Comme s’il était courant de s’assurer seulement après avoir eu un accident (c’est une comparaison juste pour la compréhension, nous ne sommes pas une compagnie d’assurance).
Pas besoin d’évoquer ceux qui nous sollicitent avec un casier long comme le bras. Là, désolé, seuil d’incompétence de l’UNPACT atteint d’office…Je citerai un cas car il est inoubliable : « On veut me dessaisir pour une ridicule histoire de main au cul ». OK, c’est un peu fort. Sauf qu’au final la main avait 36 ans et le cul, 8… Ben t’as raison !
Ne doutez pas que nos fidèles adhérents nous reprocheraient (d’aucuns l’ont fait) d’assister gratuitement des non-membres alors qu’eux, depuis des années, cotisent pour que nous les aidions le moment éventuel venu. Et ils auraient totalement raison ! Au début, nous l’avons fait. Eh bien certains de ceux que nous avons aidés ne se sont même pas inscrits à l’UNPACT ensuite. Ça calme…
Je passe sur le fait qu’en plus, très souvent, on nous envoie (sans être adhérent) un message via notre formulaire de contact du genre : « problème de dessaisissement, m’appeler au 06 XX XX XX XX ». Ni bonjour ni merci ni merde. Et c’est parfois encore moins précis que ça. Ben non, ça ne marche pas non plus comme ça.
Nous ne publierons jamais les mails de remerciement que nous avons reçus des gens que nous avons aidés. Pas le genre de la maison. Nous ne travaillons pas pour la gloire. Et je détruis tous les dossiers une fois traités, par discrétion. Nous n’avons pas besoin d’archives.
Nous sommes un peu bordéliques administrativement parlant, nous avons trois assemblées de retard, le coronavirus nous empêche de tenir celle que je voulais tenir et au cours de laquelle j’aurais annoncé ma démission. Je le regrette. Nous ne pouvons même pas changer les statuts pour pouvoir faire une assemblée à distance, via un forum dédié : il faut tenir une assemblée extraordinaire pour cela.
Merci à tous ceux qui ont cru en nous et qui y croient encore, merci à tous ceux qui nous ont confié leur « souci » et que nous avons eu le bonheur d’aider avec succès. Nous sommes encore là et nous aidons du mieux possible ceux qui en ont besoin et qui respectent les simplissimes critères de base.
Bien cordialement,
Philippe PICAVET,
Président UNPACT
Merci de votre commentaire Mr PICAVET.